Bienvenue dans la tribu d'en Haut... Tout ce qui concerne ce blog est en relation d'une façon ou d'un autre avec la vallée de Bois d'Amont dans le Jura, avec Aline et Edmond, leurs ascendants, collatéraux, rattraits ,descendants et leurs nombreux "rapondus" .
vendredi 31 décembre 2010
jeudi 30 décembre 2010
Miss
mercredi 29 décembre 2010
Princesse
mardi 28 décembre 2010
samedi 25 décembre 2010
vendredi 24 décembre 2010
Anniversaire
lundi 20 décembre 2010
dimanche 19 décembre 2010
21 ans (Majorité)
Diaboliques : les Moréziens!
Heureusement qu'ils ne brûlaient plus les sorcières depuis une centaine d'années, sinon, son compte était bon!
Ce que dit la presse : "l'Auto" de novembre 1905 : Paul Vuillermoz, tout en remarquant que l'engrenage actionnant les roues arrière était "tel que nous l'avons aujourd'hui dans les voitures modernes", raconte cette expédition : "Un beau soir à minuit, à l'heure où il n'y a plus de chevaux à effrayer sur les routes, de bourgeois à scandaliser dans la rue, Paul Jacquemin, avec deux courageux camarades, monta dans le véhicule, et ... Partez !
On partit à l'assaut de la forte rampe qui conduit de Morez au village de Morbier. Le moteur faisait rage et, en dépit de quelques accrocs, on atteignit bel et bien le but, et la voiturette rentra, suivant l'expression consacrée, par ses propres moyens. Un triste lendemain attendait les vainqueurs. Le bruit du départ avait arraché quelques habitants au sommeil. Ce fut un tollé d'indignation. Les imaginations en détresse voyaient déjà les chevaux effrayés par l'engin, franchir les parapets des routes.
Quelques âmes mystiques entrevirent un piège de satan. Bref, on cria au scandale et on porta plainte. Le malheureux inventeur connut l'anathème de ses concitoyens auxquels il apportait la lumière. Il dut renier son oeuvre et courber la tête devant le maire de Morez qui lui signifia, au nom d'une population justement bouleversée, d'avoir à renoncer à de pareilles folies, sous peine de voir s'ouvrir devant lui les portes de la maison d'arrêt. Quant à la machine infernale, on l'exila dans un grenier, où son constructeur eut la douleur de la voir mutilée, pièce par pièce, pour être ensuite affectée à des destinations qu'il n'avait guère prévues pour elle".
samedi 18 décembre 2010
Preuve
la plupart des bornes datent du XVIe siècle et qu'elles n'ont été que peu transformées, tout au plus repeintes. Plantées dans le sol en 1553, après le traité signé entre Charles Quint et Leurs Excellences de Berne, elles arborent fièrement le lys royal à l'ouest et l'écusson blanc et vert à l'est.
dimanche 12 décembre 2010
samedi 4 décembre 2010
vendredi 3 décembre 2010
samedi 27 novembre 2010
Tombe la neige!!!!
mardi 16 novembre 2010
séjour en Champagne et chez les cht'is
Cliquer sur la photo pour agrandir.
lundi 15 novembre 2010
mercredi 10 novembre 2010
samedi 6 novembre 2010
CEA VALDUC
Voila un probleme lié au CEA effectivement tout le monde au abris
Six personnels sous-traitants exposés au tritium
Le directeur du CEA Valduc Régis Baudrillart montrant hier un tamis moléculaire. Photo A.-F. B.
Un équipement en provenance du CEA Valduc a provoqué une légère contamination au tritium de six employés d’une société de sous-traitance.
Contamination. Elle s’est produite dans une entreprise sous-traitante située dans le Val-de-Marne avec un tamis moléculaire provenant du CEA Valduc. Incident. Il a été classé au niveau 1 pour la contamination, mais au niveau 2 de l’échelle Ines qui en compte 7, en ce qui concerne le défaut de procédure. Erreur. Les sous-traitants ont manipulé un tamis moléculaire qu’ils croyaient neuf alors qu’il avait déjà été utilisé par le CEA Valduc.
« Le 3 novembre, un contrôle systématique de radioprotection, réalisé sur un salarié d’une entreprise prestataire, a révélé une dosimétrie positive au tritium, sans relation avec le travail effectué dans les locaux du CEA », expliquait hier Régis Baudrillart, directeur du Commissariat à l’énergie atomique du centre de Valduc, dans les locaux du site, à Salives, à 45 km au nord-ouest de Dijon.
Les recherches ont permis d’établir que cette exposition s’était produite lors d’une intervention sur un tamis moléculaire en provenance du CEA Valduc, confié en septembre 2009 à l’entreprise 2M Process, située dans le Val-de-Marne. « Nous avions confié à cette entreprise de La Varenne-Saint-Hilaire une étude pour optimiser le système d’absorption du tritium, afin qu’une quantité d’eau moins importante soit rejetée. Les expériences ont commencé en février, et de façon plus importante en septembre. Lorsqu’un salarié de cette entreprise est revenu récemment au CEA Valduc, nous avons décelé dans ses urines une contamination au tritium…»
Pour identifier l’incident, le CEA Valduc est remonté dans ses archives jusqu’en 1996, date à laquelle ce matériel avait été démonté et séché. Le CEA avait alors considéré qu’il n’y avait plus de tritium à l’intérieur. « Quand les bases de données ont été refaites en 2000, ce tamis a été répertorié comme neuf, puis entreposé jusqu’en 2009, où il est ressorti. En fait, son utilisation dans une installation de traitement de tritium, malgré les opérations de dégazage dont il avait fait l’objet, ne pouvait exclure la présence de traces résiduelles. »
Dispositions immédiates
En relation avec l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), le CEA de Valduc s’est immédiatement assuré que les dispositions visant à sécuriser cet équipement étaient prises afin d’éviter toute contamination ultérieure. « Plusieurs actions ont été entreprises, à commencer par la mise en sécurité de l’objet et de l’atelier dans lequel travaillaient six employés. ».
Depuis mercredi, une équipe de six salariés de Valduc a rejoint les locaux de la société 2M Process, afin de dresser la cartographie intérieure et extérieure de la contamination, en appui avec les autorités locales. L’entreprise a été immédiatement fermée.
Les prélèvements effectués sur les cinq autres salariés ont également établi qu’ils avaient été exposés, dont deux à une dose dépassant la limite autorisée au regard de leur classification professionnelle. « Ils ont reçu une dose de quelques millisieverts, alors que la limite admise pour le public est de 1, et de 20 sur un an pour un travailleur du nucléaire », a déclaré Régis Baudrillart. « Les personnes contaminées vont être accompagnées par le médecin du CEA. Nous leur avons conseillé de boire beaucoup. » L’ingestion de 3 à 4 litres d’eau par jour permet en effet de réduire d’un tiers, voire plus, la période de rétention du tritium dans l’organisme qui est de 10 jours.
Le CEA travaille aussi avec l’inspection du travail, pour épauler l’entreprise 2M Process, aujourd’hui paralysée.
Ce type de dysfonctionnement, déclaré aux autorités de sûreté le 4 novembre, n’avait jusqu’alors jamais été recensé, en tout cas pas depuis 1996…
Il a été classé au niveau 1 pour la contamination, mais au niveau 2 en ce qui concerne le défaut de procédure, sur l’échelle internationale des événements nucléaires INES (de l’anglais International nuclear event scale), qui en compte 7.
Autre conséquence de cet incident révélant une « faille dans le système » : le blocage pour l’heure de la sortie de tout matériel « tritium », même considéré comme neuf, pour procéder à toutes les vérifications qui s’imposent.
jeudi 4 novembre 2010
Telle fille, telle mère, tel père ....
Comme le montre ce lien, Agnès avait montré la voie à ses parents en février 2007 (ouille, déjà presque 4 ans !)
Agnès fait du soutien scolaire
Après Françoise à rires d'enfants,lire et faire lire, et soutien scolaire à Sotteville, Jean-Loup et Françoise se retrouvent 3 fois par semaine à l'école Marot Villon dans le quartier des Sapins, célèbre pour son club de foot.
Aujourd'hui, c'est Paris Normandie qui est venu voir ce qui se passait "là-haut" comme disent les rouennais qui n'y ont jamais mis les pieds (pourtant c'est à Rouen).
Les habitants des "hauts" le leur rendent bien en disant on descend à Rouen quand ils vont en centre ville.
Double cliquer sur l'image pour lire l'article confortablement.
dimanche 31 octobre 2010
samedi 30 octobre 2010
Chamois et Girolles
Promenade objectif chamois, un peu de monde, ils étaient dans la pente et on en a vu 3 mais on a trouvé ce qu'on ne cherchait pas des girolles et des pieds de mouton dégustés en omelette avec Mamie.
Chamois et p'tites girolles....
envoyé par JLG76. - Les grands événements de la vie de famille en vidéo.
mardi 26 octobre 2010
Souris au vinaigre.
Elle se croyait la plus maligne, la petite souris !
Elle avait déjà attaqué une bouteille de Mouton Rotschild en grignotant le bouchon de champagne, sans succès.
Après cet échec, elle s'était tournée vers une proie plus facile.
L'étiquette annonçait doux et fruité, le bouchon était en plastique, ça ne serait qu'un jeu d'enfant.Bientôt, le bouchon céda, il ne restait plus qu'à se pencher pour atteindre le nectar promis (ah la pub! elle ferait faire des folies, n'est-ce pas mesdames :-))
Et crac la branche cassa ! et plouf, la souris tomba dans le vinaigre, et Hop, elle remonta pas son slip pour se mettre à crawler ... etc..
Eh bien pas du tout, il y a une morale à cette histoire : elle se noya.
Triste fin pour une petite gourmande ou juste punition châtiée par ou elle avait péché, je vous laisse juges.
dimanche 17 octobre 2010
Premières gelées à Rouen
samedi 16 octobre 2010
Rouen, un an plus tard...
Vous y retrouverez deux invitées à notre mariage à la mairie l'annéee dernière dans un autre rôle. Je suis passé à la mairie à la fin, mais c'était pour la fin de la manifestation. Il y avait un mariage avec une superbe Mustang , mais ils étaient coincés.
Manif à Rouen 16 octobre 2010
jeudi 14 octobre 2010
Exposition
A découvrir le reste des explications sur le sîte de la halle St Pierre
lundi 11 octobre 2010
Semi marathon
Semi marathon de Rouen 2010