C'est un signe de N-Z

 

Merci Laure Eric Florine pour les cygnes (noirs)

Carine ( Christchurch)

Visiteur du soir , cette nuit c'est maître Goupil

Visite familiale

Calendriers

C'est l'epoque des calendriers. Le chemin était tracé par Alain qui était intervenu sur le compteur, mais il n'y avait personne...

quatre vingt ans  les séparent mais.......sont nés le même jour

 

 Pierrot et Simon

 

30 ans pour Glen 

Joyeux anniversaire aux 3

11 janvier 2016

Des 3, c'était hier  l'anniversaire de .....

si si       Adrien

Joyeux anniversaire  bisous

Léonore et Clémence 1 an

On voit bien que  Future maman (Tata Hélène) et future Mamy Françoise  s'entrainent

Aux 2 Princesses, un Joyeux anniversaire

Le retour Fin Girod Familly sont bien rentrés

Bien rentrés mais une certaine fatigue se voit

Comme pour sa nièce Léonie, Florine est la Reine de la soirée

hooooo un Mignon, Florine tu viendras le chercher tu l'as oublié

Galette des rois 6 janvier 2016

En 2016, la galette des rois s'est traditionnellement dévorée le dimanche 3 janvier, le 6 janvier "tombant" un mercredi. L'année prochaine, la fête aura lieu le dimanche 8 janvier. En 2015, l'Epiphanie avait eu lieu le dimanche 4 janvier, tandis qu'elle était repoussée au 8 janvier en 2014. La galette peut néanmoins se déguster durant la première quinzaine du mois de janvier.

Les origines de l'Epiphanie

L’Épiphanie est le résultat d'une longue tradition remontant très loin avant la naissance de Jésus et résultant d'un mélange de traditions païennes et chrétiennes. A l'origine, il s'agissait dans l'antiquité de fêter le dieu Dionysos. Dieu de la vigne, du vin, mais aussi de la fête et des excès dans la mythologie grecque, Dionysos est intimement lié aux saisons et donc aux cycles de la végétation. La fête donnée en son honneur au milieu de l'hiver, et concomitante avec le solstice d'hiver, symboliserait sa résurrection, le retour de la lumière et donc la renaissance de cette végétation.

Les origines de la galette des rois et de la fève

 Il faut remonter au XIIIe ou au XIVe siècle pour retrouver les premières traces du partage d'une galette lors de l’Épiphanie. Une galette, partagée en autant de portions que de convives plus une : la "part du pauvre", c'est-à-dire destinée au premier pauvre qui se présentait. On parle d'abord d'un gâteau doré et de forme ronde, une description qui peut rappeler le soleil et donc le culte des Saturnales. Pendant ces festivités de 7 jours, les excès étaient permis et il était d'usage d'offrir des gâteaux à son entourage. Une tradition qui, au Moyen-Age, est devenue celle du "gâteau des rois". Pour certains, l'appellation viendrait de la redevance qu'il fallait verser à son seigneur à la même époque. Redevance généralement accompagnée elle-même d'un gâteau.

 

Quant à la fève, elle aurait précédé la galette puisqu'elle date elle aussi de l'empire romain. Il était d'usage en effet dans la Rome antique de tirer au sort le roi d'un festin grâce à un jeton noir ou blanc. Il est aussi dit qu'un roi était désigné par ce biais parmi les soldats d'une garnison ou dans une famille lors des Saturnales et qu'il pouvait ainsi, pendant une journée, réaliser tous ses désirs et commander tout ce qu'il lui plaisait. Une légende rapporte également une autre origine de la fève : la légende de Peau d'âne, inspirée du conte de Charles Perrault. C'est ainsi en oubliant sa bague dans un gâteau destiné au prince que Peau d'âne aurait inspiré cette étrange coutume.

Enfin, la tradition d'envoyer le plus jeune des convives sous la table pour désigner à qui revient chaque morceau de la galette serait arrivée à la même époque. Lors des Saturnales toujours, le maître de maison demandait en effet au plus jeune de la famille, censé être le plus innocent, de désigner à quel convive il doit distribuer la part qu'il tient en main.

Nouvelle-Zélande, épisode deux

Bonne année à tout le monde!
Nous avons passé Noël et Nouvel-an au soleil et au chaud, c'est assez étrange!
Les vacances se passent bien, nous avons réussi à fatiguer la famille Girod en enchaînant les nuits en camping sous la tente :-).  Pour se venger, nous avons maintenant droit aux nuits d'hôtel! Ça nous va...
Nous sommes sur l'île du sud, nous avons vu plein d'animaux pendant la première moitié de notre périple, le fameux kiwi, mais aussi plein d'autres oiseaux en k: kakariki, kereru, kea et d'autres en W: weta, waka, mais aussi des petits pingouins bleus et même des dauphins qui sont passés sous nos kayaks! Tout le monde profite bien de la nature, nous avons vu aujourd'hui le Franz Joseph Glacier qui a la particularité de descendre à moins de 300 mètres d'altitude! Quelques photos pour régaler vos yeux en attendant le récit de la famille Girod ( qui sont devenus bilingues anglais maoris pendant leur voyage!)