samedi 12 mai 2012

Reims en ligue 1 le sacre des rois du stade de Reims


Vidéo de cette folle, historique et mémorable soirée du sacre des rois du stade de Reims avec aussi un hommage à tous les acteurs de cette réussite. 
En pensant à Nico qui en ce moment dort peut être bercé par cette réussite, dans le rôle d'ardent et fervent supporter. Nous avons nous aussi vécu cette soirée avec l'ordi portable sur les genoux pour suivre en live les résultats de la ligue2. Maintenant place à la soirée de fête contre Lens et à guichet fermé.

vendredi 11 mai 2012

Reims

Et voilà. Ca aussi , c'est fait

mercredi 9 mai 2012

Confessionnal!!!!!

Croisons les doigts, après une séance fartage et essayage nous voilà partis pour Grenoble et le grand oral à 15h25. Françoise a allumée le cierge est sortie les talismans!!!!!

mardi 8 mai 2012

Reims en ligue 1, spéciale dédicace à Nico, Math et à tous les vrais et fidèles supporters


Nico était tu à la mairie (ou des fois il y a des mariages) ou est tu rentré vers la Math sablé le champagne. En tout cas fait le plein pour Pentecôte belle Maman et beau Papa arrivent

lundi 7 mai 2012

dimanche 6 mai 2012

Chat ou chien?????

N'ayant ni l'un ni l'autre alors joker!!!!!

Elections

Tous les moyens sont bons pour aller voter

jeudi 3 mai 2012

Bois d'Amont

Une petite photo de la devanture de la pâtisserie (et non la boulangerie) de chez Gérard. Quand nous sommes arrivées de l'aéroport, nous sommes passées en visite ici, histoire de ne pas avoir le mal du pays ;)


mardi 1 mai 2012

Morilles

A défaut de Muguet la cueillette des Morilles à été bonne.

dimanche 29 avril 2012

Voyage sur le Danube

Cet article du Monde nous rappelle des souvenirs : c'est en effet sur le Vivaldi que nous avions remonté le Danube de la Roumanie à l'Autriche (dans l'autre sens donc).
Il manque la partie de Bratislava vers la plaine hongroise, la Serbie, Belgrade, la Roumanie, Bucarest, et la Bulgarie.


Histoire d'eaux sur le cours du Danube

LE MONDE • Mis à jour le 25.04.2012 à 14h44
Par François Bostnavaron
 
La longue silhouette blanche du navire tranche sur un ciel plutôt gris ardoise et un Danube pas vraiment bleu. Mercredi 11 avril, il est un peu plus de 16 heures à Passau (Bavière) et une foule de touristes se presse sur le quai pour embarquer à bord du Vivaldi, le bateau qui les conduira jusqu'à Budapest (Hongrie), point final d'une croisière de 580 km et de six jours sur l'un des fleuves les plus longs d'Europe.

Les marins s'activent et collectent les bagages que l'on retrouvera bientôt dans les cabines. Les derniers retardataires ont pris le temps de visiter la petite ville bavaroise, située au confluent du Danube, de l'Inn et de l'Ilz et surnommée la Dreiflüssestadt, "la ville aux trois fleuves", et se pressent vite à bord. Il est 17 h 15, les moteurs du Vivaldi ronronnent, on appareille.

Pouvant accueillir 176 personnes avec ses 88 cabines, le Vivaldi, avant-dernier-né de la flotte de CroisiEurope, est quasiment plein avec 160 passagers à bord. Les touristes ne sont pas émus outre mesure par la catastrophe du Concordia ou la diffusion la veille, sur France 2, d'un docu-fiction sur le naufrage du Titanic, il y a cent ans. Ils sont tous déjà accro à cette façon de voyager qui permet, comme le relève l'un d'entre eux, de "traverser trois ou quatre pays avec sa brosse à dents toujours dans la même salle de bains, sur un hôtel flottant".

La première escale n'intervient qu'après une douzaine d'heures de navigation qui conduit le Vivaldi à Melk (Autriche). C'est le trajet le plus long avec 280 km. Jeudi 12 avril, à 8 heures, les plus courageux des croisiéristes sont déjà sur le pont pour aller visiter la très belle et très riche abbaye bénédictine de Melk qui domine le Danube à plus de 50 mètres de haut. La visite dure deux heures, le temps d'être surpris par la muséographie de l'architecte autrichien Hans Hoffer et d'admirer la bibliothèque aux 100 000 livres et la très baroque église abbatiale.

A 11 heures, tout le monde est revenu sur le Vivaldi dans un remarquable souci de ponctualité sous peine de manquer le départ. Le commissaire de bord, l'homme-orchestre de la croisière après le commandant, détaille au micro la suite du périple : pendant le déjeuner, le bateau naviguera jusqu'à Dürnstein, petite ville de la vallée de la Wachau autrichienne entourée de remparts et plantée sur une falaise abrupte. On s'y attarde un peu. Le temps d'y apprendre que Richard Coeur de Lion y fut fait prisonnier et détenu à son retour de la troisième croisade en 1192.

UNE HALTE À VIENNE RESTE TOUJOURS UN MOMENT MAGIQUE

Et comme descendre le Danube, c'est aussi remonter l'histoire, il ne faut pas être surpris, au détour d'une ruelle, de tomber sur une plaque commémorative rédigée en français rappelant que le 11 novembre 1805 les soldats du maréchal Mortier y combattirent contre ceux du maréchal Kutusov "à 1 contre 4".

Pas étonnant dans ces conditions de retrouver quasiment dans toutes les échoppes pour touristes des heaumes, des boucliers ornés de lions et autres épées de bois voisinant avec des soldats de plomb de l'armée napoléonienne.

Mais il faut bientôt abandonner l'Empire, la campagne d'Autriche de Napoléon et Richard Cœur de Lion pour reprendre le cours du Danube vers Vienne. Les premiers rayons de soleil donnent au fleuve des couleurs mordorées jusqu'alors inédites. A la vitesse de 20 km/h, le Vivaldi se rapproche de la capitale autrichienne pour une escale de nuit. A quai vers 20 h 30, le bateau ne quittera son point d'attache que vendredi 13 avril en fin de journée.

Faire une halte à Vienne reste toujours un moment magique. Mais, cette année, la capitale autrichienne vaut doublement le détour, ne serait-ce que pour toutes les manifestations organisées autour du 150e anniversaire de la naissance de Gustav Klimt, le peintre le plus en vue du mouvement Art nouveau. De l'avis même des Viennois, il n'y avait pas eu un tel événement depuis la célébration de l'année Mozart en 2006 pour le 250e anniversaire de sa naissance.

Alors, pour une fois, il faut consacrer moins de temps au château de Schönbrunn, à Sissi, aux pâtisseries de Demel ou de l'hôtel Sacher pour se ruer au Belvédère, au Leopold Museum ou encore à l'Albertina Museum.

Un seul impératif : ne pas rater le bateau car, à 18 h 30, il largue les amarres pour une navigation de nuit vers Esztergom, qui fut la première capitale de la Hongrie. Plutôt que de s'éterniser à table ou rejoindre sa cabine, on admire la traversée de Bratislava illuminée.

Le bateau arrimé à 6 heures, mieux vaut se lever tôt pour éviter les flots de touristes partis à l'assaut de la basilique. Elle se voit de loin, imposante, surmontée d'un dôme, qui fait d'elle la plus grande église de Hongrie. L'histoire raconte que Beethoven devait diriger sa Missa solemnis lors de la consécration de l'église. Mais les travaux de construction engagés en 1823 tardèrent. La consécration finit par avoir lieu en... 1856, soit près de trente ans après la mort de Beethoven. C'est donc Franz Liszt qui composa La Messe de Gran (de l'ancien nom d'Esztergom).

Une fois à l'intérieur, ne pas hésiter à emprunter à droite du chœur le large escalier en colimaçon qui mène aux salles abritant le trésor de la basilique, qui constitue la plus riche collection d'objets religieux de toute la Hongrie.

S'IMPRÉGNER DES PREMIÈRES IMAGES DE LA CAPITALE HONGROISE

Au sortir de l'édifice, un détour dans les jardins permet à la fois de voir la gigantesque statue de Saint-Etienne et le point de vue sur le pont Maria Valeria qui mène à la Slovaquie. Retour au bateau vers midi pour le dernier appareillage. Direction Budapest, terme de la croisière.

Après quatre heures de navigation, le Vivaldi atteint enfin Budapest, destination finale. La quasi-totalité des croisiéristes sont sur le pont-terrasse pour s'imprégner des premières images de la capitale hongroise, de la citadelle sur la colline de Buda à l'immense Parlement de style gothique situé à Pest.

Après quelques manoeuvres, le Vivaldi vient s'amarrer à quelques encablures du pont Elisabeth. Un emplacement idéal pour partir à la découverte de la Perle du Danube en commençant par la très commerçante rue Vaci, qui s'étend du pittoresque marché central jusqu'à la place Vörösmarty avant de pousser jusqu'à la basilique Szent Istvan. C'est aussi un bon point de départ pour partir à Buda, à la découverte du célèbre Hôtel Gellert, au pied du mont du même nom avant d'emprunter le funiculaire qui vous conduira jusqu'au Palais Royal d'où le point de vue sur Pest reste mémorable.

François Bostnavaron

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