Bienvenue dans la tribu d'en Haut... Tout ce qui concerne ce blog est en relation d'une façon ou d'un autre avec la vallée de Bois d'Amont dans le Jura, avec Aline et Edmond, leurs ascendants, collatéraux, rattraits ,descendants et leurs nombreux "rapondus" .
dimanche 25 septembre 2011
dimanche 18 septembre 2011
Les amulettes de Saint Gorgon
samedi 17 septembre 2011
vendredi 16 septembre 2011
mardi 6 septembre 2011
Clim'way
lundi 5 septembre 2011
C'est la fin des vacances
Ca sent la rentrée sur le lac des Rousses. Les pédalos sont en cours de rangement, les bouées de la baignade sont sorties de l'eau, bientôt le lac sera rendu aux pêcheurs.
La webcam avait été remise en service cet été, je ne sais pas si je dois la remettre sur la page d'accueil: celle du lac de Joux n'a pas supporté le dernier orage.
samedi 3 septembre 2011
Séparation!!!!!
combat entre syndicat et direction
CHU. LA SÉCURITÉ INCENDIE EST-ELLE SUFFISANTE SUR L’HÉLIPORT DU BOCAGE ? LA QUESTION FAIT DÉBAT.Hélicoptères à rassurer
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Les hélicoptères de secours se posent désormais sur le toit du CHU. Photo SDR
Au nouveau CHU de Dijon, des voix s’élèvent pour réclamer un renforcement de la sécurité incendie sur l’héliport.
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Les pilotes de l’hélicoptère du Samu de Nevers auraient été les plus virulents sur la question. A leur connaissance, le CHU de Dijon serait le seul ne disposant pas d’un personnel de sécurité incendie prêt à intervenir à chaque décollage ou atterrissage, de manière à prévenir tout risque de feu.
Pas le budget
Pour Frédérique Mugnier, secrétaire général du syndicat CGT au sein du CHU, l’établissement serait, sur ce point, en dessous des normes de sécurité. « Compte tenu de la situation budgétaire du CHU nous n’avons pas l’autorisation de créer des postes dans le domaine de la sécurité incendie. L’équipe de sécurité incendie se bagarre sur cette question depuis que la nouvelle hélistation sur le toit du CHU est en place. »
Pour l’heure, sur la zone d’atterrissage située sur le bâtiment du CHU se trouvent quatre extincteurs à poudre, mais aucun agent n’est présent au moment de l’atterrissage ou du décollage pour s’en servir, en cas de départ de feu. « Si quelqu’un était présent à côté de l’appareil, il pourrait intervenir immédiatement en cas de départ d’incendie sur l’hélicoptère. Faute de quoi, c’est au pilote de s’en charger… », explique-t-on de source syndicale. Au niveau de la direction du CHU, on insiste sur le fait que l’autorisation de mise en œuvre de l’hélistation découle de deux arrêtés préfectoraux pris les 10 janvier et 15 février 2011. Ces derniers se fondent sur le respect par le CHU « de l’arrêté du 29 septembre 2009 relatif aux caractéristiques de sécurité applicables à la conception, à l’aménagement, à l’exploitation et à l’entretien des infrastructures aéronautiques terrestres utilisées exclusivement par des hélicoptères à un seul axe rotor principal. » D’autre part, la délégation régionale de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a rendu le 18 janvier un avis favorable relatif à la mise en service de l’hélistation. « Les textes indiquent la nécessité d’une équipe au sol de trois personnes : ces personnels sont présents sur l’emprise du complexe du Bocage puisqu’il y a en permanence au PC sécurité, un chef d’équipe et trois agents de sécurité », précise encore le CHU.
Stationnement au CHU à partir de 2013
Les personnels nécessaires sont donc bien présents, mais pas sur l’aire d’atterrissage elle-même et c’est ce point qui fait débat. En moyenne, l’héliport du CHU accueille entre quatre et cinq appareils par jour. Il est aujourd’hui utilisé comme une aire de dépose et non de stationnement. Cette dernière est toujours située à l’ancien hôpital général, près du centre-ville et ce jusqu’à fin 2012, date à laquelle l’hélicoptère du Samu 21 stationnera au nouveau CHU