samedi 27 novembre 2010

Tombe la neige!!!!




Eh oui elle est la et elle continue de tomber. Hier dernière reconnaissance et damage (30cm de fraiche)de la rando du téléthon sur les balcons de Morez. Ci-joint des photos de Morez depuis les bèlvèdéres de la rôche au dade et du Béchet. Morez sera une des 15 villes ambassadrice avec des reportages en direct sur France 2 et 3 nationale dont l'arrivée des randonneurs et des autres participants le Samedi à partir de 15h55 sur France 3 nationale. cliquer sur les photos pour agrandir.

mardi 16 novembre 2010

séjour en Champagne et chez les cht'is

Pour ce qui est de la météo peux largement mieux faire. (c'est pas difficile) Mais bon ce fut un très beau week-end détente avec les enfants, leur conjoint et conjointe et les amis. Visite de Reims, de Lille avec le LAM (ne pas confondre avec MAM) et ses expos (en particulier pour moi l'art brut qui m'a encore interpellé et passionné comme quoi ) musée de l'automobile et bien sur séance magasin. Cotè cuisine ce fut parfait (certaine cuisine et d'autre lèche le plat!!!!) arrosé de Champagne, Bourgogne et Savagnin pour faire passer le tout.

Cliquer sur la photo pour agrandir.

lundi 15 novembre 2010

route du Rhum







Rencontre à Marseille avec un"p'tit" bonhomme (Franck Camas) qui à dompté le monstre (Groupama)

samedi 6 novembre 2010

CEA VALDUC

Voila un probleme lié au CEA effectivement tout le monde au abris

Six personnels sous-traitants exposés au tritium

Le directeur du CEA Valduc Régis Baudrillart montrant hier un tamis moléculaire.  Photo A.-F. B.

zoom


Un équipement en provenance du CEA Valduc a provoqué une légère contamination au tritium de six employés d’une société de sous-traitance.

Contamination. Elle s’est produite dans une entreprise sous-traitante située dans le Val-de-Marne avec un tamis moléculaire provenant du CEA Valduc. Incident. Il a été classé au niveau 1 pour la contamination, mais au niveau 2 de l’échelle Ines qui en compte 7, en ce qui concerne le défaut de procédure. Erreur. Les sous-traitants ont manipulé un tamis moléculaire qu’ils croyaient neuf alors qu’il avait déjà été utilisé par le CEA Valduc.

« Le 3 novembre, un contrôle systématique de radioprotection, réalisé sur un salarié d’une entreprise prestataire, a révélé une dosimétrie positive au tritium, sans relation avec le travail effectué dans les locaux du CEA », expliquait hier Régis Baudrillart, directeur du Commissariat à l’énergie atomique du centre de Valduc, dans les locaux du site, à Salives, à 45 km au nord-ouest de Dijon.

Les recherches ont permis d’établir que cette exposition s’était produite lors d’une intervention sur un tamis moléculaire en provenance du CEA Valduc, confié en septembre 2009 à l’entreprise 2M Process, située dans le Val-de-Marne. « Nous avions confié à cette entreprise de La Varenne-Saint-Hilaire une étude pour optimiser le système d’absorption du tritium, afin qu’une quantité d’eau moins importante soit rejetée. Les expériences ont commencé en février, et de façon plus importante en septembre. Lorsqu’un salarié de cette entreprise est revenu récemment au CEA Valduc, nous avons décelé dans ses urines une contamination au tritium…»

Pour identifier l’incident, le CEA Valduc est remonté dans ses archives jusqu’en 1996, date à laquelle ce matériel avait été démonté et séché. Le CEA avait alors considéré qu’il n’y avait plus de tritium à l’intérieur. « Quand les bases de données ont été refaites en 2000, ce tamis a été répertorié comme neuf, puis entreposé jusqu’en 2009, où il est ressorti. En fait, son utilisation dans une installation de traitement de tritium, malgré les opérations de dégazage dont il avait fait l’objet, ne pouvait exclure la présence de traces résiduelles. »

Dispositions immédiates

En relation avec l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), le CEA de Valduc s’est immédiatement assuré que les dispositions visant à sécuriser cet équipement étaient prises afin d’éviter toute contamination ultérieure. « Plusieurs actions ont été entreprises, à commencer par la mise en sécurité de l’objet et de l’atelier dans lequel travaillaient six employés. ».

Depuis mercredi, une équipe de six salariés de Valduc a rejoint les locaux de la société 2M Process, afin de dresser la cartographie intérieure et extérieure de la contamination, en appui avec les autorités locales. L’entreprise a été immédiatement fermée.

Les prélèvements effectués sur les cinq autres salariés ont également établi qu’ils avaient été exposés, dont deux à une dose dépassant la limite autorisée au regard de leur classification professionnelle. « Ils ont reçu une dose de quelques millisieverts, alors que la limite admise pour le public est de 1, et de 20 sur un an pour un travailleur du nucléaire », a déclaré Régis Baudrillart. « Les personnes contaminées vont être accompagnées par le médecin du CEA. Nous leur avons conseillé de boire beaucoup. » L’ingestion de 3 à 4 litres d’eau par jour permet en effet de réduire d’un tiers, voire plus, la période de rétention du tritium dans l’organisme qui est de 10 jours.

Le CEA travaille aussi avec l’inspection du travail, pour épauler l’entreprise 2M Process, aujourd’hui paralysée.

Ce type de dysfonctionnement, déclaré aux autorités de sûreté le 4 novembre, n’avait jusqu’alors jamais été recensé, en tout cas pas depuis 1996…

Il a été classé au niveau 1 pour la contamination, mais au niveau 2 en ce qui concerne le défaut de procédure, sur l’échelle internationale des événements nucléaires INES (de l’anglais International nuclear event scale), qui en compte 7.

Autre conséquence de cet incident révélant une « faille dans le système » : le blocage pour l’heure de la sortie de tout matériel « tritium », même considéré comme neuf, pour procéder à toutes les vérifications qui s’imposent.

jeudi 4 novembre 2010

A Is sur Tille tous aux abris


Steph cours y vite avec Elsa

Telle fille, telle mère, tel père ....


Comme le montre ce lien, Agnès avait montré la voie à ses parents en février 2007 (ouille, déjà presque 4 ans !)
Agnès fait du soutien scolaire
Après Françoise à rires d'enfants,lire et faire lire, et soutien scolaire à Sotteville, Jean-Loup et Françoise se retrouvent 3 fois par semaine à l'école Marot Villon dans le quartier des Sapins, célèbre pour son club de foot.
Aujourd'hui, c'est Paris Normandie qui est venu voir ce qui se passait "là-haut" comme disent les rouennais qui n'y ont jamais mis les pieds (pourtant c'est à Rouen).
Les habitants des "hauts" le leur rendent bien en disant on descend à Rouen quand ils vont en centre ville.
Double cliquer sur l'image pour lire l'article confortablement.

dimanche 31 octobre 2010

Souvenir











Il y a exactement 1 an et à la même heure nos jeunes mariés convolaient en justes noces. Maintenant nous allons pouvoir les séparer quand ils seront à notre table. En tout cas celà reste un "délicieux souvenir"

La météo des contributeurs avec www.infoclimat.fr