Bienvenue dans la tribu d'en Haut... Tout ce qui concerne ce blog est en relation d'une façon ou d'un autre avec la vallée de Bois d'Amont dans le Jura, avec Aline et Edmond, leurs ascendants, collatéraux, rattraits ,descendants et leurs nombreux "rapondus" .
lundi 15 novembre 2010
mercredi 10 novembre 2010
samedi 6 novembre 2010
CEA VALDUC
Voila un probleme lié au CEA effectivement tout le monde au abris
Six personnels sous-traitants exposés au tritium
Le directeur du CEA Valduc Régis Baudrillart montrant hier un tamis moléculaire. Photo A.-F. B.
Un équipement en provenance du CEA Valduc a provoqué une légère contamination au tritium de six employés d’une société de sous-traitance.
Contamination. Elle s’est produite dans une entreprise sous-traitante située dans le Val-de-Marne avec un tamis moléculaire provenant du CEA Valduc. Incident. Il a été classé au niveau 1 pour la contamination, mais au niveau 2 de l’échelle Ines qui en compte 7, en ce qui concerne le défaut de procédure. Erreur. Les sous-traitants ont manipulé un tamis moléculaire qu’ils croyaient neuf alors qu’il avait déjà été utilisé par le CEA Valduc.
« Le 3 novembre, un contrôle systématique de radioprotection, réalisé sur un salarié d’une entreprise prestataire, a révélé une dosimétrie positive au tritium, sans relation avec le travail effectué dans les locaux du CEA », expliquait hier Régis Baudrillart, directeur du Commissariat à l’énergie atomique du centre de Valduc, dans les locaux du site, à Salives, à 45 km au nord-ouest de Dijon.
Les recherches ont permis d’établir que cette exposition s’était produite lors d’une intervention sur un tamis moléculaire en provenance du CEA Valduc, confié en septembre 2009 à l’entreprise 2M Process, située dans le Val-de-Marne. « Nous avions confié à cette entreprise de La Varenne-Saint-Hilaire une étude pour optimiser le système d’absorption du tritium, afin qu’une quantité d’eau moins importante soit rejetée. Les expériences ont commencé en février, et de façon plus importante en septembre. Lorsqu’un salarié de cette entreprise est revenu récemment au CEA Valduc, nous avons décelé dans ses urines une contamination au tritium…»
Pour identifier l’incident, le CEA Valduc est remonté dans ses archives jusqu’en 1996, date à laquelle ce matériel avait été démonté et séché. Le CEA avait alors considéré qu’il n’y avait plus de tritium à l’intérieur. « Quand les bases de données ont été refaites en 2000, ce tamis a été répertorié comme neuf, puis entreposé jusqu’en 2009, où il est ressorti. En fait, son utilisation dans une installation de traitement de tritium, malgré les opérations de dégazage dont il avait fait l’objet, ne pouvait exclure la présence de traces résiduelles. »
Dispositions immédiates
En relation avec l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), le CEA de Valduc s’est immédiatement assuré que les dispositions visant à sécuriser cet équipement étaient prises afin d’éviter toute contamination ultérieure. « Plusieurs actions ont été entreprises, à commencer par la mise en sécurité de l’objet et de l’atelier dans lequel travaillaient six employés. ».
Depuis mercredi, une équipe de six salariés de Valduc a rejoint les locaux de la société 2M Process, afin de dresser la cartographie intérieure et extérieure de la contamination, en appui avec les autorités locales. L’entreprise a été immédiatement fermée.
Les prélèvements effectués sur les cinq autres salariés ont également établi qu’ils avaient été exposés, dont deux à une dose dépassant la limite autorisée au regard de leur classification professionnelle. « Ils ont reçu une dose de quelques millisieverts, alors que la limite admise pour le public est de 1, et de 20 sur un an pour un travailleur du nucléaire », a déclaré Régis Baudrillart. « Les personnes contaminées vont être accompagnées par le médecin du CEA. Nous leur avons conseillé de boire beaucoup. » L’ingestion de 3 à 4 litres d’eau par jour permet en effet de réduire d’un tiers, voire plus, la période de rétention du tritium dans l’organisme qui est de 10 jours.
Le CEA travaille aussi avec l’inspection du travail, pour épauler l’entreprise 2M Process, aujourd’hui paralysée.
Ce type de dysfonctionnement, déclaré aux autorités de sûreté le 4 novembre, n’avait jusqu’alors jamais été recensé, en tout cas pas depuis 1996…
Il a été classé au niveau 1 pour la contamination, mais au niveau 2 en ce qui concerne le défaut de procédure, sur l’échelle internationale des événements nucléaires INES (de l’anglais International nuclear event scale), qui en compte 7.
Autre conséquence de cet incident révélant une « faille dans le système » : le blocage pour l’heure de la sortie de tout matériel « tritium », même considéré comme neuf, pour procéder à toutes les vérifications qui s’imposent.
jeudi 4 novembre 2010
Telle fille, telle mère, tel père ....
Comme le montre ce lien, Agnès avait montré la voie à ses parents en février 2007 (ouille, déjà presque 4 ans !)
Agnès fait du soutien scolaire
Après Françoise à rires d'enfants,lire et faire lire, et soutien scolaire à Sotteville, Jean-Loup et Françoise se retrouvent 3 fois par semaine à l'école Marot Villon dans le quartier des Sapins, célèbre pour son club de foot.
Aujourd'hui, c'est Paris Normandie qui est venu voir ce qui se passait "là-haut" comme disent les rouennais qui n'y ont jamais mis les pieds (pourtant c'est à Rouen).
Les habitants des "hauts" le leur rendent bien en disant on descend à Rouen quand ils vont en centre ville.
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dimanche 31 octobre 2010
samedi 30 octobre 2010
Chamois et Girolles
Promenade objectif chamois, un peu de monde, ils étaient dans la pente et on en a vu 3 mais on a trouvé ce qu'on ne cherchait pas des girolles et des pieds de mouton dégustés en omelette avec Mamie.
Chamois et p'tites girolles....
envoyé par JLG76. - Les grands événements de la vie de famille en vidéo.
mardi 26 octobre 2010
Souris au vinaigre.
Elle se croyait la plus maligne, la petite souris !
Elle avait déjà attaqué une bouteille de Mouton Rotschild en grignotant le bouchon de champagne, sans succès.
Après cet échec, elle s'était tournée vers une proie plus facile.
L'étiquette annonçait doux et fruité, le bouchon était en plastique, ça ne serait qu'un jeu d'enfant.Bientôt, le bouchon céda, il ne restait plus qu'à se pencher pour atteindre le nectar promis (ah la pub! elle ferait faire des folies, n'est-ce pas mesdames :-))
Et crac la branche cassa ! et plouf, la souris tomba dans le vinaigre, et Hop, elle remonta pas son slip pour se mettre à crawler ... etc..
Eh bien pas du tout, il y a une morale à cette histoire : elle se noya.
Triste fin pour une petite gourmande ou juste punition châtiée par ou elle avait péché, je vous laisse juges.